Ottawa Citizen : Les patients les plus susceptibles de mourir subissent de graves conséquences lorsque leur médecin ne parle pas leur langue
Selon une nouvelle étude menée par des chercheurs d’Ottawa, les patients traités par des médecins qui parlent leur propre langue sont en meilleure santé et moins susceptibles de mourir à l’hôpital.
L’étude, publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne, a révélé des différences significatives dans les résultats chez les patients âgés et fragiles qui ont été traités par un médecin dans leur propre langue, comparativement à ceux qui ne l’ont pas été.