Même si les réfugiés ukrainiens qui arrivent à Montréal ont échappé à leur pays ravagé par la guerre, bon nombre d’entre eux font encore face à des défis considérables, notamment des problèmes de santé mentale.
« Les réfugiés en temps de guerre subissent d’énormes traumatismes psychologiques qui ont une incidence négative sur leurs résultats d’acculturation », déclare Nate Fuks, docteur et directeur du Centre en psychologie clinique Professor Virginia I. Douglas de l’Université McGill. « Souvent, cela les empêche de bien s’adapter dans un nouveau pays. »