Comme l'a annoncé Emploi et Développement social Canada en août, plusieurs changements ont été activés jeudi.
À partir de maintenant, le gouvernement fédéral cessera de traiter les évaluations de l'impact sur le marché du travail (EIMT), en particulier celles du volet des bas salaires du programme des TET, dans les régions du pays où le taux de chômage est de six pour cent ou plus. En refusant de traiter ces formulaires, le gouvernement empêchera les employeurs, dans la plupart des cas, d'embaucher des TET tant que le taux de chômage restera élevé dans leur région.
En outre, il est désormais interdit aux employeurs d'embaucher plus de 10 % de leur main-d'œuvre par l'intermédiaire du programme canadien des TET, un pourcentage appliqué, comme ci-dessus, à la catégorie des bas salaires. Auparavant, ce plafond était fixé à 20 %.
Enfin, un participant au programme des TET ne peut occuper un emploi à bas salaire que pendant un an, alors que la limite précédente était de deux ans.